Une bonne nouvelle pour la naturopathie, le développement de la prévention santé, et pour vous tous qui venez nous voir en consultation. Affaire à suivre...
Communiqué de la fédération française des écoles de naturopathie : "Le titre de « Conseiller ou Conseillère en Naturopathie » a été enregistré au Répertoire National de Certifications Professionnelles (RNCP) le 21 avril dernier, suite à la présentation d’une demande par le CFPPA de Hyères-les-Palmiers (83). Cet établissement public, centre de formation professionnelle et de promotion agricoles, propose une formation en présentiel de 650 heures qui s’appuie sur la prévention et l’hygiène vitale. Le travail qui a été fait par l’équipe pédagogique de ce centre a permis ce premier pas vers une reconnaissance de la naturopathie par l’un des services de l’Etat, et nous les en félicitons. C’est un début et nous savons que le chemin qui reste à parcourir nous demandera beaucoup d’énergie.
La FÉna est de son côté très active depuis plusieurs mois afin que la profession de « praticien naturopathe » soit reconnue par l’Etat. Nous ne manquerons pas de vous tenir informés du résultat des actions que nous menons actuellement dans ce sens, tant auprès des pouvoirs publics que des élus, ou futurs élus. Nous rappelons que les écoles fédérées, dispensent aujourd’hui une formation de 1200 heures minimum en présentiel. Viennent s’y ajouter des heures de clinicat, de stage et de recherche, indispensables à la mise en œuvre des compétences nécessaires à la pratique d’une profession centrée sur la relation d’aide. Les équipes pédagogiques des écoles, composées majoritairement de praticiens, œuvrent pour la transmission des savoirs et le partage d’expérience, indispensables à toute formation professionnelle. Soucieux d’améliorer la qualité de nos formations, nous nous sommes fixés comme objectif à moyen terme d’élever le niveau de qualification, notamment en nous rapprochant des standards internationaux de la profession. Le nombre d’heures de formation, et surtout de pratique, augmentera régulièrement dans les prochaines années. La prise de conscience par nos concitoyens que la santé est un bien précieux qu’il leur faut préserver et se réapproprier, nous incite à développer notre profession avec toujours plus de sérieux et de rigueur, afin de les accompagner, en étant vigilant sur la qualité des formations que nous dispensons au sein de nos écoles depuis plus de trente ans." Dominick Léaud-Zachoval Président de la FÉNA